Il se fait tard sous les toits et dehors tout est froid et crépite. La lune encore grosse d'hier se reflètent dans chacun des flocons, cette catin. L'excitation de l'incertain se transforme en la certitude du néant. A côté de la mémoire circulaire et du souvenir qui s'efface se forme donc le fantasme, comme échappatoire au néant. Celui luisant, brillant, inavouable qui se déguste dans la solitude apaisante. Celui qui est si parfait qu'il ne saurait être profané par des mots et des comparaisons. Tu vois il est si pur le refuge a qui je confie nos plus belles émotions pour les laisser intouchées, inchangées par tout ce qui pourras se passer avant et après.
Je vais t'écrire une lettre,
CHRONOS A MANGE SON FILS,
ET LE MIEN,
ET LE TIEN,
IL ETAIT TOUT PETIT
S'EN ETAIT RIDICULE
MAIS ATTENDRISSANT
ET SUR LA FRESQUE DE LA NUIT DES TEMPS
ON PEUT ENCORE EFFLEURER DU BOUT DE NOS DOIGTS TORDUS
LE MOMENT OU LA RIME S'ARRETE,
TOUT S'ARRETE.

nOTHING at sEA
Is WHAT yOU sEE
TALkING is eASY
nOTHING thAT i fANcY
I'd love that my love,
Could die at night.
I'd go lie at night,
All dreams evaporated,
All the feathers of the dove,
Would fly away from the lonely bed.
TISANE FATALE A BRISBANE
SUSHI SACRE A HELSINSKI
CORPS SECHES A ALEP

The darkness, hiding,
From the end was waiting,
Lord Darkness
All lead made,
Would see the light,
and eat it.
moi je voudrais être pour lui l'oreille qui recueille la main qui caresse la bouche humide qui conforte l'oeil qui soutient le sein qui aime, peut-être pas par pure bonté oui peut-être un peu pour me sauver moi-même parce que je fane de ne pas le faire, je pourri de ne pas pouvoir l'aimer. Petit à petit mes battements ralentissent, la vue des autres m'exaspère les entendre m'irrite.
moi je voudrais être pour lui l'oreille qui recueille la main qui caresse la bouche humide qui conforte l'oeil qui soutient le sein qui aime, peut-être pas par pure bonté oui peut-être un peu pour me sauver moi-même parce que je fane de ne pas le faire, je pourri de ne pas pouvoir l'aimer. Petit à petit mes battements ralentissent, la vue des autres m'exaspère les entendre m'irrite.
Mauvais endroit
Sentiment débordant
Adieu état de droit
Bonjour hiver mordant
A jamais dans le froid,
C'est toi que je veux, .
Passsions Personnellles 
H
Ils mentent comme ils respirent,
Ces délicieux drapeau couronnés,
Toison d'or de mes désirs,
Ils maquillent leur rire avec doigté,
Quand ils me voient étouffer ma Jouissance dans la taie.

Mon corps est là,
Pâle, nu, découpé,
Les seins pendent et refusent de pointer,
La chatte béante rouge écarlate, râpe, salement ébouriffée.
Les pupilles mobiles, seul indicateur d'une once de vie dans cet ensemble n'ont cesse de scanner le desastre.
Sursaut de la main.
Spasme. Spasme.
C'est l'envie refrénée ( par qui ? )
De saisir ce couteau, le planter.
La tâche serait si belle sur le kimono crème qui couvre les épaules.
Elle remplirait la soie d'un poid,
impoli pour la délicatesse du tissu.

Souillée pour finir,
Belle et bien pour de vrai,
Étouffée dans ma taie,
Souillée par la vanité du désir,
Maintenant ils dévoilent leur plombagedoré,
Ils ont gagné,
Je tend la chevilles,
Ils croquent sans hésiter:
Je n'ai plus fille.

Je a perdu,
Parce que leur voix si douce,
A noyé l'heureuse dans l'acide
Ainsi a dents nues,
Je arrache sa peau de rousse,
Housse de ce corps frigide.

Trempés de moi,
Les drapeau dansent,
ont-ils déjà été aussi beaux?
Qui oserait douter de la beauté du feu qui brule,
De son amour de la sauvage destruction,
De la clémence de son acharnement,
A tuer tout ceux qui le croise.

mon amour qui oserait douter de ta souveraineté
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